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Papayes et papayers
Vendeur: Label-emmaus.co Prix: 14.98 € (+4.00 €)Papayes et papayers Cet arbre-ci est une mère. Mère patiente, porteuse de fleurs. Mère généreuse chargée de fruits, chacun relié à elle par un pédoncule. Les plus gros sont-ils les meilleurs ? Combien de saisons ont-ils connues ? Quand mûriront-ils ? Ont-ils tous des pépins ? Comme des melons ? Comme des pastèques ?
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Trois mois payés
Vendeur: Label-emmaus.co Prix: 2.45 € (+4.00 €)Trois mois payés Alors que les répercussions de la crise de 29 ravagent la France, Marcel Astruc suit pas à pas les errances à travers Paris d'un garçon de bureau mis au chômage avec trois mois de salaire en poche.
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Tous frais payés
Vendeur: Label-emmaus.co Prix: 4.84 € (+4.00 €)Tous frais payés (1963) - André Devos - Occasion - Bon Etat - Jauni
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La Reine des cipayes
Vendeur: Label-emmaus.co Prix: 2.00 € (+4.00 €)La Reine des cipayes Elle mourut à cheval habillée en garçon, les rênes entre les dents, une épée dans chaque main et ses perles au cou, tuée d'une balle dans le dos. Ses ennemis les Anglais l'appelaient Jézabel, ou Jeanne d'Arc, comme la sorcière française, et ces événements se passaient dans le ventre de l'Inde, en plein dix-neuvième siècle, lorsque les " negros " indigènes, les peaux sombres, les fameux " cipayes ", firent la guerre à leurs maîtres blancs. On les appelait alors " John Company ", surnom de la Compagnie des Indes orientales, forte de 250 000 soldats indiens. Trop d'humiliations, trop de rajas détrônés, trop d'exploitation, de brimades, toujours pour le commerce... Un jour, tout explosa. L'insurrection naquit, irrésistible. Elle trouva ses chefs, et parmi eux, cette femme. Jeune veuve de trente ans, combattante émérite, elle fut le seul chef de guerre à mourir au combat. Ensuite, tout s'arrêta. La guerre d'indépendance avait duré deux ans, deux terribles années de victoires, de massacres. Quand sa guerrière mourut, l'Inde cessa d'être libre. Manu, dite " la Chérie ", était reine de Jhansi et, encore aujourd'hui, les petits Indiens apprennent à l'école la chanson qui célèbre sa gloire.
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La Reine des cipayes
Vendeur: Label-emmaus.co Prix: 3.29 € (+4.00 €)La Reine des cipayes Elle mourut à cheval habillée en garçon, les rênes entre les dents, une épée dans chaque main et ses perles au cou, tuée d'une balle dans le dos. Ses ennemis les Anglais l'appelaient Jézabel, ou Jeanne d'Arc, comme la sorcière française, et ces événements se passaient dans le ventre de l'Inde, en plein dix-neuvième siècle, lorsque les " negros " indigènes, les peaux sombres, les fameux " cipayes ", firent la guerre à leurs maîtres blancs. On les appelait alors " John Company ", surnom de la Compagnie des Indes orientales, forte de 250 000 soldats indiens. Trop d'humiliations, trop de rajas détrônés, trop d'exploitation, de brimades, toujours pour le commerce... Un jour, tout explosa. L'insurrection naquit, irrésistible. Elle trouva ses chefs, et parmi eux, cette femme. Jeune veuve de trente ans, combattante émérite, elle fut le seul chef de guerre à mourir au combat. Ensuite, tout s'arrêta. La guerre d'indépendance avait duré deux ans, deux terribles années de victoires, de massacres. Quand sa guerrière mourut, l'Inde cessa d'être libre. Manu, dite " la Chérie ", était reine de Jhansi et, encore aujourd'hui, les petits Indiens apprennent à l'école la chanson qui célèbre sa gloire.
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La Reine des cipayes
Vendeur: Label-emmaus.co Prix: 3.38 € (+4.00 €)La Reine des cipayes Elle mourut à cheval habillée en garçon, les rênes entre les dents, une épée dans chaque main et ses perles au cou, tuée d'une balle dans le dos. Ses ennemis les Anglais l'appelaient Jézabel, ou Jeanne d'Arc, comme la sorcière française, et ces événements se passaient dans le ventre de l'Inde, en plein dix-neuvième siècle, lorsque les " negros " indigènes, les peaux sombres, les fameux " cipayes ", firent la guerre à leurs maîtres blancs. On les appelait alors " John Company ", surnom de la Compagnie des Indes orientales, forte de 250 000 soldats indiens. Trop d'humiliations, trop de rajas détrônés, trop d'exploitation, de brimades, toujours pour le commerce... Un jour, tout explosa. L'insurrection naquit, irrésistible. Elle trouva ses chefs, et parmi eux, cette femme. Jeune veuve de trente ans, combattante émérite, elle fut le seul chef de guerre à mourir au combat. Ensuite, tout s'arrêta. La guerre d'indépendance avait duré deux ans, deux terribles années de victoires, de massacres. Quand sa guerrière mourut, l'Inde cessa d'être libre. Manu, dite " la Chérie ", était reine de Jhansi et, encore aujourd'hui, les petits Indiens apprennent à l'école la chanson qui célèbre sa gloire.
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La reine des cipayes
Vendeur: Label-emmaus.co Prix: 3.06 € (+4.00 €)La reine des cipayes Lakshmi Baï est la jeune reine vénérée du royaume libre de Jhansi, au centre de l’Inde. Lorsque la « révolte des Cipayes » éclate, en 1857, c’est en guerrière impétueuse et redoutable qu’elle incarne la fierté de tout son peuple. Habillée en garçon, une épée dans chaque main, elle n’a peur de rien ni personne. Ses ennemis le savent : s’ils éliminent cette guerrière, c’est le peuple indien tout entier qui se soumettra.
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La Reine des cipayes
Vendeur: Label-emmaus.co Prix: 3.29 € (+4.00 €)La Reine des cipayes Elle mourut à cheval habillée en garçon, les rênes entre les dents, une épée dans chaque main et ses perles au cou, tuée d'une balle dans le dos. Ses ennemis les Anglais l'appelaient Jézabel, ou Jeanne d'Arc, comme la sorcière française, et ces événements se passaient dans le ventre de l'Inde, en plein dix-neuvième siècle, lorsque les " negros " indigènes, les peaux sombres, les fameux " cipayes ", firent la guerre à leurs maîtres blancs. On les appelait alors " John Company ", surnom de la Compagnie des Indes orientales, forte de 250 000 soldats indiens. Trop d'humiliations, trop de rajas détrônés, trop d'exploitation, de brimades, toujours pour le commerce... Un jour, tout explosa. L'insurrection naquit, irrésistible. Elle trouva ses chefs, et parmi eux, cette femme. Jeune veuve de trente ans, combattante émérite, elle fut le seul chef de guerre à mourir au combat. Ensuite, tout s'arrêta. La guerre d'indépendance avait duré deux ans, deux terribles années de victoires, de massacres. Quand sa guerrière mourut, l'Inde cessa d'être libre. Manu, dite " la Chérie ", était reine de Jhansi et, encore aujourd'hui, les petits Indiens apprennent à l'école la chanson qui célèbre sa gloire.
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La Reine des cipayes
Vendeur: Label-emmaus.co Prix: 3.38 € (+4.00 €)La Reine des cipayes Elle mourut à cheval habillée en garçon, les rênes entre les dents, une épée dans chaque main et ses perles au cou, tuée d'une balle dans le dos. Ses ennemis les Anglais l'appelaient Jézabel, ou Jeanne d'Arc, comme la sorcière française, et ces événements se passaient dans le ventre de l'Inde, en plein dix-neuvième siècle, lorsque les " negros " indigènes, les peaux sombres, les fameux " cipayes ", firent la guerre à leurs maîtres blancs. On les appelait alors " John Company ", surnom de la Compagnie des Indes orientales, forte de 250 000 soldats indiens. Trop d'humiliations, trop de rajas détrônés, trop d'exploitation, de brimades, toujours pour le commerce... Un jour, tout explosa. L'insurrection naquit, irrésistible. Elle trouva ses chefs, et parmi eux, cette femme. Jeune veuve de trente ans, combattante émérite, elle fut le seul chef de guerre à mourir au combat. Ensuite, tout s'arrêta. La guerre d'indépendance avait duré deux ans, deux terribles années de victoires, de massacres. Quand sa guerrière mourut, l'Inde cessa d'être libre. Manu, dite " la Chérie ", était reine de Jhansi et, encore aujourd'hui, les petits Indiens apprennent à l'école la chanson qui célèbre sa gloire.
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La Reine des cipayes
Vendeur: Label-emmaus.co Prix: 4.22 € (+4.00 €)La Reine des cipayes Elle mourut à cheval habillée en garçon, les rênes entre les dents, une épée dans chaque main et ses perles au cou, tuée d'une balle dans le dos. Ses ennemis les Anglais l'appelaient Jézabel, ou Jeanne d'Arc, comme la sorcière française, et ces événements se passaient dans le ventre de l'Inde, en plein dix-neuvième siècle, lorsque les " negros " indigènes, les peaux sombres, les fameux " cipayes ", firent la guerre à leurs maîtres blancs. On les appelait alors " John Company ", surnom de la Compagnie des Indes orientales, forte de 250 000 soldats indiens. Trop d'humiliations, trop de rajas détrônés, trop d'exploitation, de brimades, toujours pour le commerce... Un jour, tout explosa. L'insurrection naquit, irrésistible. Elle trouva ses chefs, et parmi eux, cette femme. Jeune veuve de trente ans, combattante émérite, elle fut le seul chef de guerre à mourir au combat. Ensuite, tout s'arrêta. La guerre d'indépendance avait duré deux ans, deux terribles années de victoires, de massacres. Quand sa guerrière mourut, l'Inde cessa d'être libre. Manu, dite " la Chérie ", était reine de Jhansi et, encore aujourd'hui, les petits Indiens apprennent à l'école la chanson qui célèbre sa gloire.
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Les patrons sont-ils trop payés ?
Vendeur: Label-emmaus.co Prix: 4.22 € (+4.00 €)Les patrons sont-ils trop payés ? " Je ne crois pas à la survie d'un capitalisme sans morale et sans éthique, où ceux qui échouent gagnent davantage que ceux qui réussissent, où les profiteurs et les tricheurs s'en tirent toujours... " En prononçant cette diatribe pendant la présidentielle, Nicolas Sarkozy savait qu'il frappait juste. Quoi de commun en effet entre le salaire annuel d'un smicard et le salaire du P-DG le mieux payé de France - 4,06 millions d'euros en 2006 ? Cette dérive des rémunérations, révélée par les retentissantes affaires Messier, Bernard, Forgeard, choque l'opinion. Mais qu'en est-il réellement ?
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Les patrons sont-ils trop payés ?
Vendeur: Label-emmaus.co Prix: 2.11 € (+4.00 €)Les patrons sont-ils trop payés ? " Je ne crois pas à la survie d'un capitalisme sans morale et sans éthique, où ceux qui échouent gagnent davantage que ceux qui réussissent, où les profiteurs et les tricheurs s'en tirent toujours... " En prononçant cette diatribe pendant la présidentielle, Nicolas Sarkozy savait qu'il frappait juste. Quoi de commun en effet entre le salaire annuel d'un smicard et le salaire du P-DG le mieux payé de France - 4,06 millions d'euros en 2006 ? Cette dérive des rémunérations, révélée par les retentissantes affaires Messier, Bernard, Forgeard, choque l'opinion. Mais qu'en est-il réellement ?
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La Reine des cipayes
Vendeur: Label-emmaus.co Prix: 3.38 € (+4.00 €)La Reine des cipayes Elle mourut à cheval habillée en garçon, les rênes entre les dents, une épée dans chaque main et ses perles au cou, tuée d'une balle dans le dos. Ses ennemis les Anglais l'appelaient Jézabel, ou Jeanne d'Arc, comme la sorcière française, et ces événements se passaient dans le ventre de l'Inde, en plein dix-neuvième siècle, lorsque les " negros " indigènes, les peaux sombres, les fameux " cipayes ", firent la guerre à leurs maîtres blancs. On les appelait alors " John Company ", surnom de la Compagnie des Indes orientales, forte de 250 000 soldats indiens. Trop d'humiliations, trop de rajas détrônés, trop d'exploitation, de brimades, toujours pour le commerce... Un jour, tout explosa. L'insurrection naquit, irrésistible. Elle trouva ses chefs, et parmi eux, cette femme. Jeune veuve de trente ans, combattante émérite, elle fut le seul chef de guerre à mourir au combat. Ensuite, tout s'arrêta. La guerre d'indépendance avait duré deux ans, deux terribles années de victoires, de massacres. Quand sa guerrière mourut, l'Inde cessa d'être libre. Manu, dite " la Chérie ", était reine de Jhansi et, encore aujourd'hui, les petits Indiens apprennent à l'école la chanson qui célèbre sa gloire.
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La Reine des cipayes
Vendeur: Label-emmaus.co Prix: 2.00 € (+4.00 €)La Reine des cipayes Elle mourut à cheval habillée en garçon, les rênes entre les dents, une épée dans chaque main et ses perles au cou, tuée d'une balle dans le dos. Ses ennemis les Anglais l'appelaient Jézabel, ou Jeanne d'Arc, comme la sorcière française, et ces événements se passaient dans le ventre de l'Inde, en plein dix-neuvième siècle, lorsque les " negros " indigènes, les peaux sombres, les fameux " cipayes ", firent la guerre à leurs maîtres blancs. On les appelait alors " John Company ", surnom de la Compagnie des Indes orientales, forte de 250 000 soldats indiens. Trop d'humiliations, trop de rajas détrônés, trop d'exploitation, de brimades, toujours pour le commerce... Un jour, tout explosa. L'insurrection naquit, irrésistible. Elle trouva ses chefs, et parmi eux, cette femme. Jeune veuve de trente ans, combattante émérite, elle fut le seul chef de guerre à mourir au combat. Ensuite, tout s'arrêta. La guerre d'indépendance avait duré deux ans, deux terribles années de victoires, de massacres. Quand sa guerrière mourut, l'Inde cessa d'être libre. Manu, dite " la Chérie ", était reine de Jhansi et, encore aujourd'hui, les petits Indiens apprennent à l'école la chanson qui célèbre sa gloire.
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La Reine des cipayes
Vendeur: Label-emmaus.co Prix: 3.29 € (+4.00 €)La Reine des cipayes Elle mourut à cheval habillée en garçon, les rênes entre les dents, une épée dans chaque main et ses perles au cou, tuée d'une balle dans le dos. Ses ennemis les Anglais l'appelaient Jézabel, ou Jeanne d'Arc, comme la sorcière française, et ces événements se passaient dans le ventre de l'Inde, en plein dix-neuvième siècle, lorsque les " negros " indigènes, les peaux sombres, les fameux " cipayes ", firent la guerre à leurs maîtres blancs. On les appelait alors " John Company ", surnom de la Compagnie des Indes orientales, forte de 250 000 soldats indiens. Trop d'humiliations, trop de rajas détrônés, trop d'exploitation, de brimades, toujours pour le commerce... Un jour, tout explosa. L'insurrection naquit, irrésistible. Elle trouva ses chefs, et parmi eux, cette femme. Jeune veuve de trente ans, combattante émérite, elle fut le seul chef de guerre à mourir au combat. Ensuite, tout s'arrêta. La guerre d'indépendance avait duré deux ans, deux terribles années de victoires, de massacres. Quand sa guerrière mourut, l'Inde cessa d'être libre. Manu, dite " la Chérie ", était reine de Jhansi et, encore aujourd'hui, les petits Indiens apprennent à l'école la chanson qui célèbre sa gloire.
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Le château des papayes
Vendeur: Label-emmaus.co Prix: 3.44 € (+4.00 €)Le château des papayes A onze ans, Ware possède une imagination débordante et fuit toute interaction sociale, au grand désespoir de ses parents. Lorsqu'il découvre une église à moitié démolie à côté du centre de loisirs où il doit passer l'été, Ware décide d'en faire son château : l'endroit idéal pour devenir un chevalier ! Sauf que les lieux sont déjà occupés par Jolène et les plants de papayes qu'elle tente d'y faire pousser. Commence alors une incroyable aventure entre rêve éveillé et dure réalité...
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La semaine de 4 jours (payés 5 !)
Vendeur: Label-emmaus.co Prix: 5.28 € (+4.00 €)La semaine de 4 jours (payés 5 !) Dans La semaine de 4 jours, Andrew Barnes, entrepreneur innovateur, expose LA réponse à tous les maux de l'économie mondialisée du 21ème siècle : 4 jours de travail (payés 5) qui vont augmenter la productivité, la rentabilité et le bien-être de tous, et qui vont même créer un futur plus durable ! Ce livre est un guide pratique pour appliquer ces changements révolutionnaires et en finir avec le présentéisme et le bore-out qui existent dans (presque) n'importe quel secteur et industrie. Il est fondé sur des données scientifiques et propose une approche en pas-à-pas, tout en prenant en compte les particularités culturelles et législatives qui existent.
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Aller-retour, tous frais payés
Vendeur: Label-emmaus.co Prix: 3.59 € (+4.00 €)Aller-retour, tous frais payés Daniel se rend à l'Opéra de Bratislava trois semaines après l'enterrement de sa femme, morte dans un accident de voiture. Avant la représentation, à la terrasse d'une pâtisserie de la vieille ville baroque, le veuf séduisant commande un café. La serveuse, d'une grande beauté, est étudiante, engagée pour un travail d'été. Fasciné, il couvre la jeune femme de compliments. Etonnée par les déclarations véhémentes du Français, Lila, méfiante, le prend pour un dragueur, donc elle garde plus que jamais ses distances. Lors d'une deuxième visite à Bratislava, Daniel, tenace, réussit à faire la connaissance de la mère de la jeune femme, Colette, une jolie divorcée de quarante ans. Sous prétexte d'une future amitié à nouer, il l'invite avec sa fille dans son hôtel particulier à Paris. Evidemment : " aller-retour, tous frais payés ". L'approche est plus que convenable. Lila, la rebelle de vingt ans, fait accepter l'invitation à sa mère, qui depuis longtemps rêve d'un homme comme ce Français... Elles arrivent pour un week-end dans un enfer que seuls l'argent et la haine peuvent créer. Lila rencontrera le fils de Daniel. Il a vingt ans, il s'appelle Alex. Elle viendra à son secours et un amour va naître, mais à quel prix ? Christine Arnothy nous présente l'image d'une société sous la forme d'un thriller familial. Dans ce milieu, n'irait-on pas jusqu'à tuer pour garder un secret ? Vouloir connaître ceux qui vous entourent ? Allez-y avec prudence. Vous aurez des éclats de bonheur, mais aussi que d'angoisses ! Vivre ensemble ? Bien sûr. Si vous savez vous défendre.
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Aller-retour, tous frais payés
Vendeur: Label-emmaus.co Prix: 4.22 € (+4.00 €)Aller-retour, tous frais payés Daniel se rend à l'Opéra de Bratislava trois semaines après l'enterrement de sa femme, morte dans un accident de voiture. Avant la représentation, à la terrasse d'une pâtisserie de la vieille ville baroque, le veuf séduisant commande un café. La serveuse, d'une grande beauté, est étudiante, engagée pour un travail d'été. Fasciné, il couvre la jeune femme de compliments. Etonnée par les déclarations véhémentes du Français, Lila, méfiante, le prend pour un dragueur, donc elle garde plus que jamais ses distances. Lors d'une deuxième visite à Bratislava, Daniel, tenace, réussit à faire la connaissance de la mère de la jeune femme, Colette, une jolie divorcée de quarante ans. Sous prétexte d'une future amitié à nouer, il l'invite avec sa fille dans son hôtel particulier à Paris. Evidemment : " aller-retour, tous frais payés ". L'approche est plus que convenable. Lila, la rebelle de vingt ans, fait accepter l'invitation à sa mère, qui depuis longtemps rêve d'un homme comme ce Français... Elles arrivent pour un week-end dans un enfer que seuls l'argent et la haine peuvent créer. Lila rencontrera le fils de Daniel. Il a vingt ans, il s'appelle Alex. Elle viendra à son secours et un amour va naître, mais à quel prix ? Christine Arnothy nous présente l'image d'une société sous la forme d'un thriller familial. Dans ce milieu, n'irait-on pas jusqu'à tuer pour garder un secret ? Vouloir connaître ceux qui vous entourent ? Allez-y avec prudence. Vous aurez des éclats de bonheur, mais aussi que d'angoisses ! Vivre ensemble ? Bien sûr. Si vous savez vous défendre.
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Aller-retour, tous frais payés
Vendeur: Label-emmaus.co Prix: 5.00 € (+4.00 €)Aller-retour, tous frais payés Daniel se rend à l'Opéra de Bratislava trois semaines après l'enterrement de sa femme, morte dans un accident de voiture. Avant la représentation, à la terrasse d'une pâtisserie de la vieille ville baroque, le veuf séduisant commande un café. La serveuse, d'une grande beauté, est étudiante, engagée pour un travail d'été. Fasciné, il couvre la jeune femme de compliments. Etonnée par les déclarations véhémentes du Français, Lila, méfiante, le prend pour un dragueur, donc elle garde plus que jamais ses distances. Lors d'une deuxième visite à Bratislava, Daniel, tenace, réussit à faire la connaissance de la mère de la jeune femme, Colette, une jolie divorcée de quarante ans. Sous prétexte d'une future amitié à nouer, il l'invite avec sa fille dans son hôtel particulier à Paris. Evidemment : " aller-retour, tous frais payés ". L'approche est plus que convenable. Lila, la rebelle de vingt ans, fait accepter l'invitation à sa mère, qui depuis longtemps rêve d'un homme comme ce Français... Elles arrivent pour un week-end dans un enfer que seuls l'argent et la haine peuvent créer. Lila rencontrera le fils de Daniel. Il a vingt ans, il s'appelle Alex. Elle viendra à son secours et un amour va naître, mais à quel prix ? Christine Arnothy nous présente l'image d'une société sous la forme d'un thriller familial. Dans ce milieu, n'irait-on pas jusqu'à tuer pour garder un secret ? Vouloir connaître ceux qui vous entourent ? Allez-y avec prudence. Vous aurez des éclats de bonheur, mais aussi que d'angoisses ! Vivre ensemble ? Bien sûr. Si vous savez vous défendre.
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